mardi 31 octobre 2017

Le marché européen des voitures électriques est très fragmenté, de nouvelles données communiquées par l'ACEA avant que la Commission finalise la proposition relative aux émissions de CO2

Bruxelles, le 31 octobre 2017 - L'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) a publié de nouvelles données démontrant la corrélation entre l'adoption par le marché des véhicules électriques (ECV) et les incitations à la fois du PIB et des clients. Sur la base de ces nouvelles conclusions, l'ACEA plaide pour une approche ambitieuse mais plus réaliste de l'électrification de la flotte automobile européenne, juste avant que la Commission européenne ne publie sa proposition de cibles CO2 pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers après 2021 la semaine prochaine.
 Les nouvelles données d' ACEA montrent qu'une part de marché de plus de 1% ne se produit que dans les pays d'Europe de l'Ouest avec un PIB par habitant supérieur à 30 000 euros. En revanche, près de la moitié des États membres de l'UE ont une part de marché de 0,5% ou moins. En fait, dans les pays dont le PIB est inférieur à 17 000 euros, la part de marché reste proche de zéro - y compris les nouveaux États membres de l'UE en Europe centrale et orientale, ainsi que la Grèce déchirée par la crise. L'abordabilité est clairement un obstacle majeur.
"Nos données démontrent que, même s'il est en croissance, le marché européen des ECV reste extrêmement hétérogène, ce qui rend difficile l'idée d'un mandat ou d'un système de crédit à l'échelle européenne", a déclaré Erik Jonnaert, secrétaire général de l'ACEA.
"Beaucoup de gens considèrent le marché norvégien comme une référence. Mais tout comme son PIB de 64 000 €, soit plus de deux fois la moyenne de l'UE, la part de la Norvège de 29% est une exception en Europe. Personne ne regarde la Grèce par exemple, où seulement 32 voitures rechargeables électriquement ont été vendues l'année dernière ", a expliqué Jonnaert. "Cela devrait être un appel au réveil pour les décideurs. Les futures mesures de décarbonisation devraient être inclusives, plutôt que de supposer que tous les pays se trouvent dans la même situation qu'une poignée de marchés de VCE avancés ".
Les chiffres montrent également que les incitations à l'achat de VCE par les clients, et en particulier leur valeur monétaire, diffèrent considérablement en Europe. La part de marché des ECV n'est significative que dans les pays qui offrent des incitations importantes. Cinq États membres de l'UE n'offrent aucune incitation.
"Même si tous les constructeurs élargissent leurs portefeuilles de véhicules électriques, nous constatons malheureusement que la pénétration de ces véhicules sur le marché reste très faible et très fragmentée dans l'UE", a déclaré M. Jonnaert. "Les consommateurs à la recherche d'une alternative au diesel opteront souvent pour des véhicules à essence ou hybrides, mais ne sont pas encore en train de passer à des voitures électriques à grande échelle". En d'autres termes, le produit final seul - aussi bon soit-il - n'est pas suffisant pour créer une demande. Outre des incitations harmonisées et cohérentes pour stimuler les ventes, nous devons investir davantage dans les infrastructures de recharge et de ravitaillement dans tous les États membres de l'UE, avant de pouvoir espérer que les consommateurs de toute l'UE adopteront réellement des véhicules alternatifs.
Les membres de l'ACEA espèrent que la prochaine proposition de la Commission européenne sur les émissions de CO2 pour les voitures et les véhicules légers en tiendra compte.
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Notes pour les éditeurs
À propos d'ACEA
  • ACEA représente les 14 constructeurs européens de voitures, fourgons, camions et autobus: BMW Group, DAF Trucks, Daimler, Fiat Chrysler Automobiles, Ford Europe, Hyundai Motor Europe, Iveco, Jaguar Land Rover, Groupe PSA, Groupe Renault, Toyota Motor Europe, Groupe Volkswagen, Volvo Cars et Volvo Group.
  • Plus d'informations peuvent être trouvées sur  www.acea.be  ou  @ACEA_eu
  • Contact: Cara McLaughlin, Directrice des communications, cm@acea.be , +32 2 738 73 45; +32 485 88 66 47.
À propos de l'industrie automobile de l'UE
  • 12,6 millions de personnes - soit 5,7% de la population active de l'UE - travaillent dans le secteur.
  • Les 3,3 millions d'emplois dans la construction automobile représentent près de 11% de l'emploi industriel dans l'UE.
  • Les véhicules à moteur représentent près de 396 milliards d'euros de contributions fiscales dans l'UE15.
  • Le secteur est également un moteur clé de la connaissance et de l'innovation, représentant le plus grand contributeur privé européen à la R & D, avec plus de 50 milliards d'euros investis chaque année.
  • L'industrie automobile génère un excédent commercial d'environ 90 milliards d'euros pour l'UE.

lundi 30 octobre 2017

Véhicule électrique : une étude "cycle de vie" qui clarifie le débat (Autoactu.com)

La chronique de Bernard Jullien, Maître de Conférence à l'Université de Bordeaux et conseiller scientifique de la Chaire de Management des Réseaux du Groupe Essca.

Comme les lecteurs d’Autoactu l’auront constaté vendredi, le volontarisme politique dont semblent vouloir faire preuve les autorités dans différentes régions du monde et singulièrement en Europe et en France suscite de légitimes interrogations quant au bien fondé du choix électrique qui est en train de s’affirmer. Le procès en irresponsabilité ou en inconséquence de nos élites laisse s’entremêler des parfums libertaires américains (ou autrichiens) et de plus gaulois relents poujadistes. Il conduit à échanger plus d’invectives que d’arguments et à rechercher plus volontiers le chiffre qui tue – parce qu’il épaule votre foi – que la source solide.
Il se trouve que la veille de la parution de l’analyse de Bertrand Rakoto, Transport et Environnement a diffusé une étude de Maarten Messagiede Vrije Universiteit à Bruxelles que l’ONG a commanditée . Le scientifique belge y tente de faire sérieusement le travail que nous avons tendance les uns et les autres à bricoler avec des bribes d’informations. Ce travail consiste à recourir aux méthodes rigoureuses qu’ont conçues les spécialistes des analyses de cycles de vie (‘Life Cycle Assessments’ ou LCA). L’auteur écrit ainsi : "Les études de LCA considèrent tous les process ayant un impact environnemental tout au long du cycle de vie des véhicules, de l’extraction des matériaux, à la production des composants, l’assemblage, l’usage puis le traitement du véhicule en fin de vie. En s’intéressant à toutes ces phases une LCA évite les déplacements de problème (‘problem shifting’)."

Constatant que ces LCA sont assez divergents s’agissant du VE, Messagie se demande pourquoi et nous propose dans un premier temps une plongée dans les littératures concernées qui permet de comprendre d’où viennent les désaccords en même temps qu’elle nous convainc qu’existent des travaux solides auxquels on peut arrimer des LCA rigoureuses. Reprenant une revue de littérature portant sur 79 LCA sur les véhicules qu’il avait publiée avec quatre collègues en 2014 (1), il indique que, en cette matière, cinq grandes sources de divergence dans les résultats sont repérables :
1) les variations dans les limites du système analysé ;
2) les différences dans les mix énergétiques apportant l’électricité supplémentaire nécessaire ;
3) le fait d’utiliser des chiffres NEDC ou des mesures "réelles" ;
4) les hypothèses sur le cycle de vie du véhicule (par exemple passer de 150 000 à 200 000 kms fait baisser l’importance relative des stades de production) ;
5) les hypothèses sur les cycles de vie des batteries et le type de batteries.
Les ayant passé en revue pour indiquer leur impact respectif, il nous apprend à lire cette littérature et à en saisir les apports en militant en particulier pour des approches qui s’intéressent à des panels de véhicules et des conditions d’utilisation et qui en évaluent les performances sur le cycle de vie en mobilisant plusieurs indicateurs.
Il propose sur ces bases une LCA comparée des véhicules électriques en Europe et d’un véhicule Diesel émettant 120 g de CO2 au km en distinguant les 4 stades du cycle de vie que sont :
1) la phase du puit au réservoir (Well-to-Tank ou WTT) ;
2) la phase du réservoir à la roue (Tank-to-Wheel ou TTW) ;
3) la fabrication de la caisse, la maintenance et le recyclage du véhicule ;
4) la fabrication du groupe motopropulseur, de la turbine, de la batterie et de l’électronique embarquée.

Sur ces bases, il fait une évaluation de l’émission totale de CO2 d’un véhicule tout électrique circulant en Europe et recourant à une production d’électricité "dans la moyenne européenne" de 2015 c’est à dire avec des émissions de 300g CO2/kWh qui lui donne un très clair avantage en terme de gaz à effet de serre : en intégrant les 4 phases, le véhicule électrique émet moins de 100g de CO2 au km et le Diesel plus de 200g. La phase WTT représente 78% des émissions du véhicule électrique  et 18% de celles du Diesel. La phase TTW est inexistante pour le véhicule électrique alors qu’elle compte pour 75% des émissions du Diesel. Il part de ce scenario moyen pour examiner différentes configurations nationales allant de la Pologne où chaque kWh génère 600g de CO2 à la France ou à la Suède où on est à 40g et 20g respectivement. Il indique que même dans le cas polonais, le véhicule électrique est préférable si on l’on raisonne en LCA.
Il conclut logiquement qu’on a quelques raisons de soutenir le volontarisme en cette matière et indique les évidentes voies de progrès que sont la "décarbonisation de la production d’électricité", l’allègement des véhicules, la réduction de l’impact environnemental de toutes les phases de fabrication des composants des véhicules électriques, les nouvelles chimies employées pour faire fonctionner les batteries Li-Ion et le recyclage des batteries. Il recommande à ce sujet que la directive sur les véhicules en fin de vie soit doublée par l’UE par une directive sur les batteries en fin de vie pour stimuler les recherches en ce domaine.
Ce rapport ne clôt bien sûr pas tous les débats ouverts pas B. Rakoto. Il a toutefois le mérite de le ramener dans un champ rationnel et d’appeler le monde de l’automobile à sortir avec modestie de son champ habituel d’expertise pour explorer les questions énergétiques ou celles des matières premières, pour s’informer de cette fameuse chimie des batteries ou des techniques de récupération du Lithium dans les batteries en fin de vie. Il est indéniable qu’une large part des questions posées à chacun des niveaux reste à ce stade assez largement irrésolue et que dès lors privilégier le véhicule électrique revient à faire un pari sur les capacités de la recherche, de l’industrie et des politiques à leur trouver dans les années à venir des réponses acceptables. D’une certaine manière, les écologistes d’habitude si obsédés par le principe de précaution semblent nous inviter à croire à nouveau dans le progrès et à avoir foi dans la science, la technologie et la démocratie. Pour la France et l’Europe, il y a, à lire le travail de Maarten Messagie quelques bonnes raisons de les prendre au mot.
Bernard Jullien
(1) Nordelöf, A., Messagie, M., Tillman, A-M., Ljunggren Söderman, M. & Van Mierlo, J. « Environmental impacts of hybrid, plug-in hybrid, and battery electric vehicles — what can we learn from life cycle assessment? », The International Journal of Life Cycle Assessment. 21 Aug 2014

vendredi 27 octobre 2017

Daimler Trucks lance E-FUSO et un camion tout électrique Vision One

• Engagement clair pour électrifier la gamme complète de camions et d'autobus FUSO dans les années à venir
• Première mondiale du camion tout électrique E-FUSO Vision One avec une autonomie allant jusqu'à 350 kilomètres
• Mitsubishi Fuso Truck et Bus Corporation (MFTBC) est le premier équipementier à lancer une marque exclusivement dédiée aux camions électriques et aux bus
• Première FUSO eCanter FUSO eCanter, produite en série, livrée aux premiers clients: UPS, Seven-Eleven et Yamato Transport Japan

Tokyo, Japon - Mitsubishi Fuso Truck et Bus Corporation (MFTBC), filiale de Daimler Trucks, a renforcé aujourd'hui l'engagement de sa marque FUSO en faveur des mobilités alternatives. Au salon de l'automobile de Tokyo, MFTBC a annoncé qu'elle allait électrifier toute sa gamme de camions et d'autobus dans les années à venir. A cette occasion, MFTBC a dévoilé E-FUSO en tant que premier OEM à lancer une marque de produit exclusivement dédiée à la mobilité électrique des camions et des bus. Comme preuve supplémentaire de ce mouvement stratégique, MFTBC a célébré la première mondiale de son concept de camion tout-électrique avec une autonomie allant jusqu'à 350 kilomètres. 
Le camion, baptisé E-FUSO Vision One, marque la fin de la trajectoire d'électrification du portefeuille de l'entreprise dans les années à venir. Cette initiative s'appuiera sur l'accès au savoir-faire de Daimler dans les domaines de la technologie des batteries et de la recharge, en soutenant la position d'E-FUSO en tant que leader du transport par camion électrique.
Marc Llistosella, président et chef de la direction de Mitsubishi Fuso Truck & Bus Corporation et chef de Daimler Trucks Asia, a déclaré:«Notre E-FUSO Vision One est une perspective sur un camion tout électrique tout électrique réalisable. Il souligne notre engagement à électrifier notre gamme complète de produits. FUSO a été un pionnier dans l'électrification des camions pendant de nombreuses années. Il y a tout juste un mois, nous avons lancé notre eCanter, le premier camion léger entièrement électrique de série. À l'avenir, tous nos véhicules électrifiés seront exploités sous le nom d'E-FUSO, notre nouvelle marque dédiée exclusivement aux camions électriques et aux autobus.»  Llistosella a ajouté:« Avec eCanter, nous avons prouvé que les camions électriques sont commercialisables. Aujourd'hui, notre eCanter permet d'économiser jusqu'à 1000 euros de frais de fonctionnement par 10.000 km. Et avec l'évolution rapide de la technologie des batteries, nous continuerons à développer des camions électriques et des bus qui auront un impact environnemental et économique positif sur la société. "

E-FUSO Vision One en tant que concept de service intensif
L'E-FUSO Vision One est un concept de poids lourds entièrement électrique, avec un poids total en charge (PTC) d'environ 23 tonnes et une charge utile d'environ 11 tonnes, seulement deux tonnes de moins que son homologue diesel. Il peut être équipé de batteries jusqu'à 300 kilowattheures, permettant ainsi une autonomie allant jusqu'à 350 km sur une seule charge. Alors que l'électrification des camions long-courrier nécessitera encore beaucoup de temps, une application potentielle pour le camion lourd Vision One est la distribution intra-urbaine régionale. Étant donné que l'intérêt croissant des clients, le développement des infrastructures et les efforts de réglementation sont susceptibles de stimuler l'électrification du transport routier, une entrée possible sur le marché pour la version en série d'E-FUSO Vision One pourrait être réalisable dans quatre ans au Japon et en Europe.

E-FUSO: Une specificité pour électrifier toute la gamme de camions et d'autobus
Avec le lancement de la marque électrique E-FUSO, FUSO souligne son engagement à électrifier toute sa gamme de produits. L'engagement va au-delà du développement du camion lourd, qui marque la fin du processus d'électrification. Au cours des prochaines années, tous les modèles de camions et d'autobus de FUSO incluront une option supplémentaire de groupe motopropulseur électrique. Le calendrier du lancement de chaque modèle sera défini en fonction de la technologie requise et de la faisabilité.

ECanter de FUSO remis à Seven-Eleven, UPS et Yamato Transport

En plus de l'E-FUSO Vision One, FUSO a également présenté son eCanter, le premier camion léger tout électrique produit en série, qui a été récemment lancé à New York. En développant l'eCanter et en effectuant des tests intensifs auprès des clients, FUSO a acquis une expérience précieuse en matière de chariots électriques, ce qui contribuera à l'introduction d'un modèle électrique robuste dans les rues au cours des quatre prochaines années.
L'eCanter avec un PTAC de 7,5 tonnes et une portée de 100-120 km sur une seule charge contribue non seulement à réduire les émissions de gaz à effet de serre et la pollution sonore dans les zones urbaines, mais a aussi des avantages commerciaux avérés. par 10.000 kilomètres.
La première petite série de l'eCanter a été livrée à des clients au Japon, y compris le géant du dépanneur Seven-Eleven et le plus important fournisseur de logistique-livraison du Japon, Yamato. Les clients aux États-Unis comprennent United Parcel Service (UPS) et plusieurs ONG, dont Habitat pour l'humanité, Wildlife Conservation Society et The New York Botanical Garden.

Un important savoir-faire dans l'électrification et l'infrastructure des véhicules
En plus de sa vaste expérience dans le développement de chariots électriques, E-FUSO bénéficie également de l'accès aux vastes ressources techniques de sa maison mère Daimler AG. 
Daimler investit massivement dans la mobilité électrique, créant des synergies entre ses divisions VP et VP. Par exemple, Deutsche Accumotive - une filiale de Daimler - fournit les batteries pour les camions E-FUSO. Mercedes-Benz Energy - un spécialiste des systèmes de stockage d'énergie stationnaire offre des opportunités pour un deuxième cycle de vie des batteries. Daimler détient également une participation dans Chargepoint, le plus grand fournisseur mondial de stations de recharge et d'infrastructure, ainsi que dans StoreDot, une start-up israélienne développant une nouvelle technologie de batterie à charge rapide, particulièrement intéressante pour les applications de camions électriques. volumes.

Easytrip adopte le protocole OCPI "Open Charge Point Interface". pour augmenter le nombre de bornes accessibles avec une seule carte et simplifier l’itinérance de la recharge

A l'occasion des 1ères journées de l'électro-mobilité de l'AVEM (28 et 29 septembre à Cagnessur-Mer), Easytrip leader de l'accès et du paiement aux bornes de recharge annonce sa compatibilité OCPI.

KiWhi Pass® : toujours plus de solutions de charge et de services 
En implémentant le protocole international OCPI, Easytrip étend son réseau de bornes de charge et déploie encore plus largement les services KiWhi Pass® : la carte d'accès et de paiement aux bornes de recharge pour véhicules électriques et hybrides rechargeables. 
Le protocole ouvert OCPI – « Open Charge Point Interface » permet à Easytrip de faciliter la recharge et d’apporter encore plus de services aux possesseurs de véhicules électriques. 
En effet, OCPI est une interface gratuite, standardisée et ouverte. Elle est utilisée par les plus grands opérateurs en Europe. Elle permet de connecter directement et de façon standardisée les opérateurs de recharge qui exploitent un réseau de bornes de recharge et les opérateurs de mobilité et de proposer aux clients l’itinérance de la recharge à moindre coût. 

Des avantages pour les clients et pour les opérateurs de charges 
Grâce à cette compatibilité OCPI : 
👉Les clients possesseurs d’une carte KiWhi Pass® vont avoir accès à un plus grand nombre de bornes de recharge. Pouvoir se recharger partout en toute simplicité avec un seul moyen d’accès et de paiement et ce, à moindre coût. Un élément essentiel au développement des ventes de véhicules électriques : LA demande de tous les clients. 
👉Un grand nombre d'opérateurs de recharge vont ainsi pouvoir ouvrir l’accès et le paiement à leurs bornes à la carte KiWhi Pass®. Easytrip pourra facilement s’interconnecter avec encore plus d’opérateurs de recharge et proposer rapidement de nouveaux services : 
  • localisation des bornes 
  • affichage de la disponibilité des bornes en temps réel 
  • réservation des bornes 
  • affichage de tarifs transparents
  • facturation en toute transparence 
  • accès et un paiement via smartphone 
  • démarrage et arrêt de recharge à distance 
En bénéficiant des nombreux clients porteurs de la carte KiWhi Pass® (elle est intégrée par les plus grands constructeurs automobile dans leurs véhicules), les opérateurs de recharge ayant opté pour OCPI pourront plus rapidement rentabiliser leurs investissements.

« Nous sommes convaincus qu’il faut standardiser et harmoniser les protocoles d’échanges pour que le déploiement des bornes de recharge s’accélèrent, que les coûts baissent et que les services proposés aux clients s’améliorent. Ce sont des éléments clefs pour une bonne expérience client et donc une adoption massive des véhicules électriques. Le choix d’OCPI va nous permettre d’augmenter rapidement le nombre de bornes accessibles aux possesseurs de carte KiWhi Pass® en nous connectant plus facilement aux opérateurs de recharge et en leur proposer de nouveaux services » précise Claude MULLER Directeur Général d’Easytrip France.

Depuis 2013, Easytrip opérateur de mobilité pionnier de l’électromobilité, œuvre pour faciliter, en France et en Europe, l’accès et le paiement aux bornes de recharge pour véhicules électriques et hybrides rechargeables avec sa solution KiWhi Pass®. Easytrip a su ainsi gagner la confiance de nombreux constructeurs automobiles, loueurs longue durée, grandes flottes de l’Etat, entreprises privées, conducteurs français et européens de VE et opérateurs de recharge privés et publics pour devenir en quelques années une référence sur le marché de l’électromobilité. La carte KiWhi Pass® a été diffusée à plus de 35.000 exemplaires et permet d’accéder directement à plus de 60 réseaux de recharge en France.

A propos d’Easytrip France Easytrip, spécialiste des services à la mobilité routière en France, conçoit et commercialise le seul bouquet de services, à destination des professionnels et des particuliers, utilisateurs de véhicules jusqu’à 3,5T. Easytrip propose des solutions « à la carte » pour faciliter les déplacements urbains, routiers et autoroutiers et en optimiser leur gestion : Carte d’accès et de paiement aux bornes de recharge : KiWhi Pass® by Easytrip ; Badge Liber-t péage et parking. Déjà leader dans les services à l’électromobilité avec KiWhi Pass®, Easytrip a pour projet de devenir un acteur incontournable sur le marché des services à la mobilité routière, en déployant le plus large bouquet de services générateur de valeur ajoutée et de sérénité pour les clients. Easytrip est filiale du groupe Egis, un groupe international de conseil, d’ingénierie, de montage de projets, d’exploitation et de services, adossé à la Caisse des Dépôts. Easytrip est présidée par Emmanuel MICHAUX et dirigée par Claude MULLER en France. 

A propos d’OCPI L'OCPI est une interface gratuite créée par des entreprises leaders dans la mobilité électrique. Son utilisation est de plus en plus répandue à mesure que les opérateurs de recharge l’adoptent. Avec OCPI, le conducteur de VE accède en temps réel à des informations fiables sur les points de charge et avec la tarification associée. Il offre une meilleure compréhension des prix et des options de paiement. OCPI connecte les opérateurs de points de charge et les fournisseurs de services de mobilité entre eux, ce qui permet aux conducteurs de VE de charger leurs véhicules dans plus d'emplacements. OCPI est considéré par beaucoup comme le moyen idéal pour l'itinérance et pour accéder à l'infrastructure de recharge via les applications mobiles.




La Leaf 2.ZERO prend un bon départ en Europe, dans le monde. (Automotive News)

TOKYO - Le chef des véhicules électriques de Nissan Europe affirme que la deuxième génération Leaf se vend bien mieux que prévu.

Après moins de deux mois de disponibilité, 3.500 Leafs ont été vendues en Europe. En comparaison, il a fallu un an à Nissan pour atteindre le même niveau en lançant la Leaf de première génération dans la région il y a sept ans, a confié Gareth Dunsmore, directeur de Nissan Europe EV, à Automotive News Europe .
La Norvège a été le premier marché européen à recevoir la feuille, début septembre.
«Ils ont été nos premiers clients et nos clients les plus fidèles et nous voulions redonner quelque chose aux personnes qui nous ont fait confiance dès le premier jour en 2010 et 2011», a déclaré Dunsmore, ajoutant que plus de 2 000 clients existants et nouveaux en Norvège avoir acheté la feuille.
Nissan a enregistré une nouvelle vague de ventes après le lancement commercial de la Leaf en Allemagne, en Autriche, en France et en Hollande le 2 octobre.
L'édition de lancement de la nouvelle Leaf, baptisée 2.ZERO et comprenant la technologie de conduite semi-autonome ProPilot de Nissan, commence à 31 950 euros en Allemagne. Des versions moins coûteuses suivront, a annoncé M. Dunsmore.
À l'échelle mondiale, Nissan a reçu plus de 9 000 commandes pour la nouvelle Leaf, également en vente au Japon. Le nouveau modèle a une autonomie de 378 km (235 miles), contre environ 250 km pour la Leaf qui a débuté en 2010.
Le volume des ventes mondiales de la Leaf est bien en avance sur les attentes de Nissan, a déclaré Asako Hoshino, vice-président senior et responsable des opérations au Japon, mercredi.

jeudi 26 octobre 2017

Un modèle à multiplier : Le corridor électrique de CNR

Sur la route de vos vacances ou pour vos trajets quotidiens en vallée du Rhône, optez pour une mobilité électrique 100% verte ! 
Avec le corridor électrique déployé par CNR, vous pouvez recharger en moins de 30 minutes votre véhicule électrique sur l’une de nos 50 bornes entre le Léman et la Méditerranée.

CNR a déployé un corridor électrique de 27 stations
distantes de moins de 30 km le long de la vallée du Rhône.
Il propose une électricité 100 % renouvelable produite par CNR.

Les stations de recharge sont implantées sur les principaux axes de circulation, à proximité des centres villes, des zones d’activité et des points de passage d’une rive à l’autre du Rhône.La plupart de ces stations sont équipées de deux bornes de recharge, de trois places de chargement et certaines d’une ombrière photovoltaïque.
CNR a confié depuis le 1er février 2016 la gestion de son corridor électrique à Freshmile. La recharge est accessible avec ou sans inscription, avec de nombreux moyens d’identification et de paiement : badge, application mobile Freshmile Charge, QR code, site web mobile et tablette, serveur vocal.  Par ailleurs, les bornes sont connectées à la plateforme d’itinérance GIREVE, ce qui permet aux abonnés d’autres opérateurs de recharger librement leurs véhicules grâce à leur badge habituel et sans inscription préalable. Une assistance téléphonique est également disponible 7 jours sur 7 de 7h à 22h au 04 85 88 03 85.
borne-de-recharge-electrique-laveyron

Optez pour une mobilité électrique 100 % durable: 

Les bornes du corridor électrique sont toutes alimentées par l’électricité 100 % d’origine renouvelable produite par CNR, grâce à son offre Move in Pure.
Ces bornes permettent la recharge à 80 % d’une batterie de voiture électrique en moins de 30 minutes pour un prix forfaitaire de 5 euros. 


Pour CNR, cela représente un investissement de 3 millions d’euros, qui s’inscrit dans le cadre de son 3e plan de Missions d’intérêt général. Il répond à un double objectif : favoriser le passage à la mobilité électrique en accompagnant le développement des infrastructures de recharge et promouvoir l’usage d’une électricité 100 % renouvelable pour une mobilité durable.
Développé en concertation avec les collectivités locales, le corridor électrique de CNR dans la vallée du Rhône a été reconnu comme projet d’intérêt national par le gouvernement, en mars 2015.

mercredi 25 octobre 2017

Nissan électrise le Salon de Tokyo 2017

  • Nissan lève le voile sur l’IMx, son nouveau concept de crossover zéro émission
  • Nissan sera présent pour la saison 2018-2019 du championnat de Formule E
  • Nissan révèle le nouveau concept de LEAF NISMO
Nissan Motor Co. Ltd. démontre une nouvelle fois son leadership en matière de technologies 100% électriques en présentant deux nouveaux concept-cars – et notamment son premier crossover 100% électrique – et en dévoilant sa participation au championnat de Formule E.
Nissan, pionner et leader mondial de la mobilité 100% électrique, a profité de sa présence au Tokyo Motor Show pour présenter sa vision d’un futur 100% électrique.

En septembre, lors de l’événement Nissan Futures 3.0, la marque avait présenté en Europe la deuxième génération de la Nissan LEAF. Nissan a également dévoilé lors de ce même évènement sa nouvelle vision des « écosystèmes 100% électriques ». Aujourd’hui, Nissan a présenté deux nouveaux concept-cars 100% électriques, démontrant une fois de plus son ambition de rester le leader sur le marché des véhicules 100% électriques, et  son intention de tenir ses promesses en matière d’innovation.
 Les nouveaux concepts car que sont le tout nouveau crossover IMx et la nouvelle Nissan LEAF NISMO donnent au grand public un aperçu des innovations présentes et futures, dans la lignée de la vision Nissan Intelligent Mobility.
 Et pour donner à son engagement vers la mobilité 100% électrique une dimension encore plus enthousiasmante, Nissan a également profité de l’occasion pour annoncer sa participation à la saison 2018-2019 du championnat de Formule E.

Le concept crossover IMx zéro émission de Nissan offre un plaisir de conduite inégalé ainsi qu’une adaptation parfaite à son environnement.


 Le design novateur du Nissan IMx, concept crossover 4 places 100% électrique, s’accompagne d’une conduite entièrement autonome et d’une autonomie dépassant les 600 kilomètres (cycle japonais JC08).
Le Nissan IMx est propulsé par deux moteurs électriques haute puissance situés à l’avant et à l’arrière du véhicule qui lui confèrent une capacité quatre roues motrices. En se combinant, ils développent 320 kW de puissance et jusqu’à 700 Nm de couple grâce à une batterie haute capacité repensée et retravaillée et qui bénéficie d’une meilleure densité énergétique.

Cette nouvelle plateforme permet au plancher d’être complètement plat, ce qui crée un habitacle très vaste et une amélioration du comportement dynamique. Grâce à un centre de gravité bas, le châssis offre une maniabilité d’une grande précision qui redéfinira les standards du segment.

Les innovations ne s’arrêtent pas là. Les batteries hautes capacité peuvent servir de centrales électriques virtuelles grâce au système permettant de partager l’énergie avec le réseau électrique local, sans fil ou de manière conventionnelle. L’IMx a été pensé pour renforcer le lien entre le conducteur et sa voiture, faisant de cette dernière un véritable partenaire pour une conduite plus sûre, plus agréable et plus enthousiasmante.


 « Le concept crossover zéro émission IMx est l’incarnation du futur de la mobilité intelligente selon Nissan » explique Daniele Schillaci, Executive Vice President of global marketing and sales, EV business, et président du comité de direction Nissan pour le Japon, l’Asie et l’Océanie. « Avec la mobilité intelligente, Nissan s’engage à transformer, dans un avenir proche et lointain, la manière dont les conducteurs et les véhicules interagissent, mais aussi la manière dont les véhicules s’inscrivent dans leur environnement. »


Nissan devient la première marque automobile japonaise à participer au championnat de Formule E FIA 2018-2019.

La participation au championnat de Formule E, dont le succès grandit de jour en jour, donne à Nissan une opportunité unique de faire connaître sa vision de la Mobilité Intelligente.

« Grâce à l’accélération instantanée et l’excellente maniabilité, qui sont le cœur même de l’expérience de conduite zéro émission selon Nissan, nous allons électriser le championnat de Formule E » s’enthousiasme Daniele Schillaci, Executive Vice President of global marketing and sales, EV business, et président du comité de direction Nissan pour le Japon, l’Asie et l’Océanie.

 Alejandro Agag, fondateur et P.D.G. du championnat de Formule E, voit d’un très bon œil la participation de Nissan et assure que « l’arrivée d’un grand nom comme Nissan marque un jour important pour le championnat. Nous sommes ravis d’accueillir un nouveau fabricant dans la grande famille de la Formule E – mais nous sommes d’autant plus heureux qu’il s’agit d’un fabricant japonais, cela montre bien à quel point la révolution électrique est mondiale. Le Japon est un pays à la pointe des nouvelles technologies où la Formule E est très suivie. Le tournant vers une mobilité durable est pris, et rien ne peut l’arrêter. Je suis impatient de voir le logo de Nissan sur les tous derniers modèles de voitures pour cette cinquième saison ».

Nissan fera son entrée au championnat fin 2018, lors de l’introduction des nouvelles règles en matière de châssis et de batteries.



Concept LEAF NISMO : Quand le véhicule 100% électriques le plus vendu au monde rencontre le label hautes performances NISMO.

Le concept LEAF NISMO incarne le pilier Nissan Intelligent Power (ou Performance Intelligente selon Nissan). Le Concept car LEAF NISMO associe respect de l’environnement spécifique à un véhicule 100% électrique et conduite enthousiasmante caractéristique de la marque NISMO.

Ce concept NISMO de la toute nouvelle Nissan LEAF présente un design résolument sportif. L’intégration des technologies NISMO à la carrosserie améliore ses performances aérodynamiques ainsi que l’adhérence, sans pour autant compromettre l’excellent coefficient de trainée de la LEAF. Son intérieur noir est renforcé par les marques rouges, signature caractéristique de  NISMO, laissant une impression d’un design sportif de hautes  performances.




À propos de Nissan en Europe
Avec l’une des plus fortes implantations sur le continent de tous les constructeurs étrangers, Nissan emploie plus de 17 000 personnes en Europe à travers ses centres locaux de design, R&D, production, logistique, ainsi que ses activités commerciales et ses opérations de marketing. L'an dernier, l'entreprise a produit dans ses usines au Royaume-Uni, en Espagne et en Russie, plus de 660 000 véhicules dont des crossovers primés, des utilitaires, et la Nissan LEAF, véhicule 100% électrique le plus vendu au monde. Poursuivant son but de zéro émission à l’échappement et zéro accident mortel sur les routes, Nissan a récemment annoncé le lancement de sa vision Intelligent Mobility. Conçue pour guider la technologie et le développement produit de la marque, cette approche à 360° du futur de la mobilité permettra d’engager d’importantes actions concernant la façon dont les véhicules seront alimentés, conduits et intégrés à la société. Nissan ambitionne de devenir la marque asiatique la plus attractive en Europe.

A propos de Nissan France
Filiale à 100% de Nissan Europe, Nissan France gère la distribution des véhicules Nissan en France depuis 1972.
La large gamme de véhicules proposée par Nissan en France va des crossovers – dont la marque est pionnière – aux citadines, en passant par les véhicules utilitaires ou la supercar GT-R. Les crossovers QASHQAI et JUKE sont les best-sellers de la marque. Nissan est également leader mondial et européen du marché des véhicules 100% électriques avec la berline LEAF et le fourgon compact e-NV200. Nissan participe enfin au développement de la mobilité 100% électrique via l’installation du premier réseau de bornes de recharge rapide en France et en Europe.
Avec sa Nouvelle Promesse Client, Nissan souhaite faire évoluer l'expérience client. Le client est ainsi placé au centre des initiatives de la marque, côté vente mais également après-vente.
En France, Nissan a commercialisé en 2016 plus de 79 193 véhicules soit une part de marché de 3.27%.

A propos de Nissan Motor Co., Ltd.
Nissan propose une gamme complète de véhicules de plus de 60 modèles sous les marques Nissan, Infiniti et Datsun. Au cours de l’exercice fiscal 2016, Nissan a vendu plus de 5,63 millions de véhicules à travers le monde, générant un chiffre d'affaires de 98,7 milliards d’euros environ (11 720 milliards de yens). Nissan conçoit, fabrique et commercialise la Nissan LEAF, véhicule 100% électrique le plus vendu de l’histoire. Basé à Yokohama au Japon, le siège social de Nissan est responsable de six régions différentes : Asie & Océanie ; Afrique, Inde & Moyen Orient ; Chine ; Europe ; Amérique Latine ; Amérique du Nord. Nissan emploie 247 500 collaborateurs et est partenaire du constructeur français Renault depuis 1999. En 2016, Nissan a acquis 34% des parts de Mitsubishi Motors. Renault-Nissan-Mitsubishi est aujourd'hui le premier constructeur automobile mondial, et représente presque 10 millions de véhicules vendus au cumul par an.

Renault quittera la Formula E en fin de Saison 4

Renault concentrera ses ressources sur ses objectifs ambitieux en Formule 1 et aura à cœur de continuer à tirer parti du sport automobile à travers l’Alliance avec Nissan. Renault et Nissan vont travailler en synergie pour assurer une transition en douceur et capitaliser sur l’expertise et le développement déjà existants.
Boulogne-Billancourt, 25 octobre 2017 – Renault confirme aujourd’hui son retrait de la Formula E en fin de Saison 4, en juillet 2018. Partenaires de la première heure, le team Renault e.dams a remporté son troisième championnat FE consécutif à Montréal, Canada, fin juillet 2017 et s’apprête à démarrer sa quatrième campagne dans la discipline. « Nous avons vécu des moments fabuleux lors de nos trois premières années en Formula E et nous sommes impatients d’aborder la quatrième saison dans un environnement très stable chez Renault e.dams »,a déclaré Thierry Koskas, Directeur commercial du Groupe Renault.« En tant que pionniers sur le marché des véhicules électriques, nous avons beaucoup appris sur VE haute performance et la gestion de l’énergie, ce dont nos clients bénéficient directement. Après la Saison 4, nous allons concentrer nos ressources sur nos objectifs très ambitieux en Formule 1 et nous aurons à cœur de continuer à tirer parti du sport automobile à travers l’Alliance avec Nissan. 
Renault-Nissan-Mitsubishi formaient le premier groupe automobile mondial à mi année (2017). Ensemble, les membres de l’alliance opèrent un modèle unique basé sur la collaboration et l’optimisation des synergies afin d’augmenter leur compétitivité tout en préservant l’identité de chacun. Cela induit des fonctions convergées entre Renault et Nissan : ingénierie, fabrications et logistique, achats et ressources humaines.. 
L’objectif de l’Alliance est d’accélérer la collaboration entre Renault, Nissan et Mitsubishi Motors, sur les plateformes communes, les motorisations et les nouvelles technologies relatives aux véhicules électriques, autonomes et connectés.
« Grâce à l’Alliance, nos ingénieurs pourront partager les données dont profiteront toutes les marques. Diversifier nos stratégies en compétition tout en bénéficiant de l’expérience acquise dans nos programmes sportifs est l’un des effets de levier offerts par l’Alliance », ajoute Thierry Koskas. 

Compte-tenu du niveau de compétitivité de l’environnement, Renault et Nissan vont travailler main dans la main pour assurer une transition en douceur et tirer parti de l’expertise et du développement déjà existants. 

A propos de Renault Sport Racing: Renault possède un long héritage en sport automobile. En Formule 1, il a décroché 11 titres « Pilotes » et 12 titres « Constructeurs », remporté 172 victoires avec 24 pilotes différents et accumulé 486 podiums. La marque a également remporté chacune des trois éditions du Championnat de Formule E FIA organisées à ce jour en partenariat avec Renault e.dams. Renault s’est également imposé en Endurance aux 24 Heures du Mans en 1978 et a remporté plusieurs manches du Championnat du monde des Rallyes. 

A propos du Groupe Renault: Constructeur automobile depuis 1898, le Groupe Renault est un groupe international multimarque qui a vendu plus de 120 000 véhicules électriques dans le monde. Renault est un pionnier du véhicule électrique en Europe et le leader des marchés VP et VU électriques. Un véhicule électrique vendu sur quatre est badgé Renault. Renault est l’unique constructeur à proposer une gamme complète de véhicules électriques, avec ZOE, Twizy et Kangoo Z.E. pour couvrir une large variété d’utilisations. Sa vision est de déployer le véhicule électrique à grande échelle. L’innovation permanente de Renault vise à rendre la mobilité électrique quotidienne plus facile et plus agréable, grâce à des véhicules attrayants et abordables, ainsi que par le développement de l’écosystème de la mobilité électrique.

mardi 24 octobre 2017

2° eRallye Monte-Carlo 25 au 29 octobre 2017

Pour cette 2° édition du eRallye Monte-Carlo, le Comité d’Organisation de l’Automobile Club de Monaco a de nouveau fait preuve de créativité et d’originalité dans son savoir-faire pour offrir aux 38 concurrents autorisés à prendre le départ de Fontainebleau le Mercredi 25 octobre à 14 heures (32 véhicules électriques dont 6 voitures à Hydrogène) une édition 2017 inédite, dont ils devraient se souvenir très longtemps… 

 Depuis que cette épreuve a succédé l’an dernier au RallyeMonte-Carlo des EnergiesNouvelles et duRallye Monte-Carlo ZENN (Zero Emission – No Noise) au sein du calendrier du Championnat Electrique et Nouvelle Energie de la FIA, l’Automobile Club de Monaco a continué de poursuivre avec conviction son rôle de précurseur et scellé définitivement son engagement dans le secteur des énergies nouvelles et du développement durable. « Dans ce domaine, l’Automobile Club de Monaco avait déjà ouvert la voie il a une vingtaine d’années avec l’organisation d’un Rallye Electrique autour de Monaco en 1995 », rappelle Christian Tornatore, Commissaire Général. « Depuis, l’ACM a continué à être force de proposition en la matière. Son évènement dédié aux véhicules de nouvelle génération a évolué sans cesse au fil des ans, pour correspondre toujours un peu plus au modernisme insufflé par les constructeurs automobiles… ». Et bien au-delà de son format initial, l’épreuve Monégasque a aussi connu différentes dénominations, toujours pour être au plus proche de l’Automobile du futur :
• Rallye Monte-Carlo des Véhicules Electriques (1995, 1996, 1997, 1998 et 1999) ; 
• Rallye Monte-Carlo Fuel Cell & Hybrids (2005, 2006) ; 
• Rallye Monte-Carlo des Véhicules à Energie Alternative (2007, 2008, 2009, 2010 et 2011) 
• Rallye Monte-Carlo des Energies Nouvelles /
Rallye Monte-Carlo ZENN (2012, 2013, 2014, 2015)
• eRallye Monte-Carlo (2016, 2017).

Véritable compétition routière, réservée aux véhicules 100% Electrique, sans utilisation de prolongateur, 100% Hydrogène ou Mixtes Electrique/Hydrogène, dotés de 4 roues, immatriculés pour usage routier, d’un minimum de 2 places et de 5 maximum, cette épreuve de régularité est très prisée des constructeurs et préparateurs automobiles, venus démontrer pour l’occasion et en conditions réelles, le potentiel technologique et avant-gardiste de leurs véhicules. 
« Pour cette seconde édition du eRallye Monte-Carlo, souhaité encore plus propre et sans aucune émission de CO2, nous sommes satisfaits d’avoir séduit nombre de concurrents dont les principaux animateurs du Championnat Electrique et Nouvelle Energie de la FIA 2017 », poursuit Christian Tornatore. « Les voitures engagées sont de nouvelle génération, représentant une dizaine de constructeurs automobiles. Il y a les modèles électriques, représentés majoritairement par les leaders du marché telles Renault Zoé, Nissan Leaf, Kia Soul, Tesla S, VW e-Golf ou bien encore Bmw I3. Nous avons également au départ trois types de voitures à pile à combustible, alimentés à l’hydrogène : la Toyota Mirai, la Hyundai IX35 et la Renault Kangoo transformée par les équipes de Symbio Fcell… »

Programme 2017 
ETAPE 1 : Temps imparti : 26 heures  Recharge électrique et parcours libres 
FONTAINEBLEAU Mercredi 25/10/17 : Contrôles Administratifs et Techniques de 08h00 à 12h30 Départ 1er concurrent à 14h00 
NEVERS MAGNY-COURS : Recharge Hydrogène à partir de 18h00 (Entrée du Circuit International) 
ONET LE CHATEAU / RODEZ Jeudi 26/10/17 : Arrivée des concurrents à partir de 16h00 Salle des Fêtes) Parc de recharge Electrique et Hydrogène (Parc Fermé) 

ETAPE 2 : Temps imparti : 33 heures Recharge électrique et parcours libres (Sauf itinéraire imposé par Road Book à proximité des Zones de Régularité) 
ONET-LE-CHATEAU / RODEZ Vendredi 27/10/17 : Départ 6h00

REGION AIX EN PROVENCE : 
Vendredi 27/10/17 : Recharge Hydrogène - Début de neutralisation course à 23h00 
Samedi 28/10/17 : Fin de Neutralisation course à 6h00

ETAPE 3 « NUIT DU TURINI » : Temps imparti : 4 heures – Parcours imposé MONACO Samedi 28/10/17 : Départ 1er concurrent à 21h00 - (Chapiteau de Fontvieille). 

NB : Les horaires indiqués sont susceptibles d’être modifiés par le Comité d’Organisation de l’ACM


Présentation eVillage : Véritable attraction de l’eRallye Monte-Carlo en Principauté, l’eVillage fait son grand retour en 2017 et prend place cette année sur le site du chapiteau de Fontvieille. Ouvert gratuitement au public de midi à minuit, Samedi 28 octobre 2017, l‘eVillage propose aux visiteurs de nombreux volets de l’univers automobile électrique, avec la complicité de MOBEE, Volkswagen, Renault, Easy-Trip, ATO, SNAM, Venturi… tous ont répondu présents pour l’occasion. 
 Au programme, essais de véhicules électriques, exposition et animations diverses…
Liste des engagés